On maigrit en dormant
Le sommeil à de nombreuses vertus sur le plan métabolique, et parmi elles, l’important rôle de réguler notre poids. A contrario, en dormant mal, notre IMC a de grands risques de s’élever.
Pourquoi ? Le sommeil régule nos sécrétions hormonales, notamment deux hormones : la ghréline (qui stimule notre appétit) et la leptine (qui provoque notre sentiment de satiété), qui jouent un grand rôle dans notre appétit. Mal sécrétées à cause d’un mauvais sommeil, elles peuvent empêcher le sentiment de satiété.
Comment se déroule le sommeil ? Il est composé de plusieurs cycles (en moyenne 5), eux-mêmes composés de plusieurs phases :
- L’endormissement
- Le sommeil lent-léger
- Le sommeil lent-profond
- Le sommeil paradoxal
D’une durée de 20 à 25 minutes chacune, les deux dernières phases sont particulièrement importantes pour la santé physique et psychologique. Ne pas les respecter (se coucher trop tard par rapport aux besoins de son horloge biologique, mal dormir...) peut nous conduire à de sérieux troubles de santé.
Le sommeil à de nombreuses vertus sur le plan métabolique, et parmi elles, l’important rôle de réguler notre poids. A contrario, en dormant mal, notre IMC a de grands risques de s’élever.
Pourquoi ? Le sommeil régule nos sécrétions hormonales, notamment deux hormones : la ghréline (qui stimule notre appétit) et la leptine (qui provoque notre sentiment de satiété), qui jouent un grand rôle dans notre appétit. Mal sécrétées à cause d’un mauvais sommeil, elles peuvent empêcher le sentiment de satiété.
Comment se déroule le sommeil ? Il est composé de plusieurs cycles (en moyenne 5), eux-mêmes composés de plusieurs phases :
- L’endormissement
- Le sommeil lent-léger
- Le sommeil lent-profond
- Le sommeil paradoxal
D’une durée de 20 à 25 minutes chacune, les deux dernières phases sont particulièrement importantes pour la santé physique et psychologique. Ne pas les respecter (se coucher trop tard par rapport aux besoins de son horloge biologique, mal dormir...) peut nous conduire à de sérieux troubles de santé.
On se muscle en dormant
Nous horloge biologique nous programme tous à une heure de coucher différente. Pour certains, ça peut être 22h30, pour d’autres 23h30... Il est important de bien la respecter car elle entraîne le sujet dans le premier cycle de sommeil qui est le plus important. Evincé, ce cylcle ne se rattrape que partiellement. Il nous permet entre autre de sécréter l’hormone de croissance, qui nous aide à conserver la qualité de nos muscles et à vieillir moins vite.
Pourquoi ? L’hormone de croissance favorise toutes les synthèses (le processus de fabrication), en particulier celle des protéines, qui assure la qualité des muscles et des os et permet de stimuler le métabolisme.
Nous horloge biologique nous programme tous à une heure de coucher différente. Pour certains, ça peut être 22h30, pour d’autres 23h30... Il est important de bien la respecter car elle entraîne le sujet dans le premier cycle de sommeil qui est le plus important. Evincé, ce cylcle ne se rattrape que partiellement. Il nous permet entre autre de sécréter l’hormone de croissance, qui nous aide à conserver la qualité de nos muscles et à vieillir moins vite.
Pourquoi ? L’hormone de croissance favorise toutes les synthèses (le processus de fabrication), en particulier celle des protéines, qui assure la qualité des muscles et des os et permet de stimuler le métabolisme.
On réduit ses risques de diabète en dormant
Bien dormir aide également à réguler la glycémie (le taux de sucre dans le sang) et donc réduit les risques d’apparition du diabète.
Pourquoi ? Le sommeil régule la sécrétion de l’insuline, l’hormone qui permet aux cellules de capter le sucre qui circule dans le sang et de la transformer en énergie ou le stocker. Or, le diabète de type 1 correspond à une sécrétion d'insuline insuffisante et/ou inefficace ce qui augmente le taux de glycémie dans le sang et peut aller jusqu'à l'hyperglycémie.
Pourquoi ? Le sommeil régule la sécrétion de l’insuline, l’hormone qui permet aux cellules de capter le sucre qui circule dans le sang et de la transformer en énergie ou le stocker. Or, le diabète de type 1 correspond à une sécrétion d'insuline insuffisante et/ou inefficace ce qui augmente le taux de glycémie dans le sang et peut aller jusqu'à l'hyperglycémie.
On peut marcher en dormant
Le sommeil peut également être une période de troubles inconscients, bien plus rares mais non moins étranges. En phase de sommeil lent-profond, le sujet peut vivre un phénomène bien connu, surtout chez les enfants : le somnambulisme, au cours duquel il peut se lever, parler et agir alors que son cerveau est profondément endormi.
Comment apparaît le somnambulisme ? Le cerveau détient ce qui s’apparente à une série de logiciels : sensitifs, émotionnels, moteurs...qui ne sont pas tous endormis au même moment. En cas de somnambulisme, le logiciel moteur est en éveil, alors que le logiciel relationnel dort.
On peut parler en dormant
En cas de somniloquie, le sujet parle tout en dormant. Il n’est donc pas conscient et ne se souvient de rien au réveil. C’est un phénomène inoffensif qui arrive souvent dès l’enfance. Le seul risque c’est la crise de couple si jamais le mauvais prénom venait à être cité !.
Comment apparaît la somniloquie ? C’est une parasomnie, un trouble du sommeil, qui apparaît au moment du sommeil lent-léger, voire paradoxal. Il s’agit d’une dysfonction entre différents logiciels du cerveau.
On peut croire qu'on est réveillé
Pendant la phase d’endormissement, le sujet peut vivre une forme d’hallucination (hallucination hypnagogique) : il ressent quelque chose qui n’existe pas (voir une forme, entendre un bruit, avoir l’impression de bouger...). Cet état est également possible au réveil (hallucination hypnopompique), bien que le phénomène soit plus rare.
Comment ? Le corps est paralysé au niveau physique car le sujet a commencé son cycle de sommeil, et pourtant il a l’impression de vivre réellement certaines choses. S'ils restent rares, tous ces phénomènes inhabituels sont banals. Ils pourraient avoir une signification pathologique, organique, par leur fréquence élevée, et/ou par leur intensité.
On renouvelle notre énergie en dormant
La phase lente-profonde d’un cycle du sommeil correspond à la récupération physique du corps. Sans cette phase, nous ne renouvelons pas notre énergie.
Pourquoi ? Pendant le sommeil, nous sommes programmés à des mécanismes chimiques et hormonaux qui diminuent notre dépense énergétique : Notre métabolisme de base est freiné : le cœur ralentit, la respiration et la tension artérielle diminuent. En contribuant au repos de tous les organes, cette phase induit notre récupération physique et psychique.
NB : Le sommeil permet également de réguler le système nerveux végétatif qui gère les situations de stress. En plus de booster l’énergie, bien dormir peut donc également permettre de lutter contre le stress, l’hypertension et les complications cardiaques.
On grandit en dormant
Actuellement, 80 à 100% des personnes accumulent des déficits de sommeil, le plus souvent au dépend du premier cycle, au cours duquel est sécrété l'hormone de croissance. Cette hormone sert notamment à grandir pendant l’enfance et l’adolescence.
On mémorise en dormant
Lorsqu’on gère mal son sommeil, en particulier après 50 ans, la mémoire peut faire défaut.
Comment le cerveau mémorise ? Chaque nuit, le cerveau enregistre les apprentissages et informations récentes dans la mémoire à court terme. Il en rejette aussi (afin d'éviter l'encombrement), qui seront donc définitivement perdus. De plus, il classe, regroupe les nouvelles informations ainsi que celles qui sont déjà stockées, voire les transforme à la lumière des évènements passés (les plus marquants émotionnellement). Nb : "Si les adolescents dormaient une heure de plus, ils gagneraient 15 points de quotient intellectuel supplémentaire", affirme le spécialiste.
On booste ses défenses immunitaires en dormant
Pendant la nuit, le corps se refait une santé en soignant ses défenses immunitaires. Les individus qui ont un premier cycle de sommeil de mauvaise qualité sont donc plus vulnérables face aux microbes.
Pourquoi ? Quand la lumière diminue, le cerveau sécrète une hormone, la mélatonine, qui fait entrer le corps en phase de sommeil. Elle déclenche également les mécanismes hormonaux qui favorisent la bonne marche des défenses immunitaires. Le système de commande hormonale se situe dans l’hypothalamus (lui-même situé dans l’encéphale) et c’est la nuit qu’il se remet à jour.
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