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Découverte d'un mystérieux trou au cœur de la pyramide de Khéops



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Les pyramides égyptiennes ont toujours été entourées d’un voile de mystère. Ce jeudi, la pyramide de Khéops vient de révéler l’un de ses secrets. L’une des Sept merveilles du monde antique cachait en son cœur une énorme surprise : un grand vide de la taille d'un avion de 200 places selon les scientifiques à l’origine de la découverte des chercheurs français, égyptiens et japonais  qui ont utilisé les rayons cosmiques pour sonder l'ouvrage monumental. Découvrant une cavité imposante jusque là inconnue au-dessus de la grande galerie.

Vue aérienne des pyramides de Gizeh. Dans l'ordre,
la pyramide de Khéops (dans laquelle vient d'être découverte
la gigantesque cavité), la pyramide de Képhren, la pyramide
de Mykérinos et les pyramides des reines.

C'est un trou qui risque de faire parler de lui pendant longtemps. Il faut dire que c'est un grand trou. Et qu'il ne se situe pas n'importe où. De la taille d'une (fine) cathédrale, il vient d'être découvert en plein cœur de la grande pyramide de Gizeh, le plus pharaonique des tombeaux égyptiens (aussi appelée pyramide de Kheops).
Depuis 2015, une cinquantaine de chercheurs s'affaire dans et autour de la grande pyramide pour en sonder les entrailles. Il est évidemment impossible de passer aux rayons X un objet aussi monumental (230 mètres de côté, 137 mètres de haut). Mais il existe une autre technique très astucieuse pour obtenir le même résultat: se servir des rayons cosmiques, des particules très énergétiques qui viennent frapper l'atmosphère et provoquent l'émission de gerbes de particules. Parmi elles, des muons, aussi appelés électrons lourds. Ce sont des particules très pénétrantes, explique Sébastien Procureur, chercheur au CEA qui a mis au point l'une des trois techniques utilisées sur le site pour détecter ces particules. Elles peuvent traverser plusieurs centaines de mètres de roche avant d'être arrêtées. Plus la matière est épaisse et dense, plus elle retient de muons. Mais s'il y a une cavité dans la direction d'observation, alors nous observons au contraire un excès de particules.
Les trois détecteurs utilisés fonctionnent sur des principes très différents. Les deux techniques japonaises (mises au point respectivement par l'université de Nagoya et le laboratoire KEK) ont été mises en œuvre à l'intérieur de la pyramide tandis que la troisième, française, fonctionne depuis l'extérieur. «Nous sommes arrivés plus tard sur le projet, en 2016, après avoir entendu parler de la mission dans les médias», raconte Sébastien Procureur. «À la base, nous avions mis au point notre technique pour étudier les chambres magmatiques des volcans. Nous avons trouvé cette application très intéressante.»
Chacune des équipes a pu vérifier qu’elle «voyait» bien dans la pyramide la chambre du roi et la grande galerie, une pièce inclinée de plus de 8 mètres de haut, 47 mètres de long et un mètre de large environ dont le rôle reste mystérieux (elle aurait pu servir à la construction de la chambre du roi). C'est alors qu'ils ont découvert une vaste cavité située au-dessus de la grande galerie. Sa taille est comparable, mais on ne sait pas si elle est parallèle, La triangulation n'est pas encore suffisamment bonne pour connaître sa position ou sa forme exacte.  

Un étrange couloir

Deux autres cavités, plus petites, de quelques mètres seulement, avaient déjà été découvertes en 2016. L'une est une petite grotte située sur l'arrête nord-est. L'autre est située derrière les chevrons monumentaux qui ornent la face nord (ces derniers étaient cachés par le revêtement de la pyramide et n'ont été mis au jour qu'au Moyen-Âge lorsqu'il fut retiré pour prélever des pierres pour la construction de bâtiments). Il semblerait que ce soit un couloir d'après les analyses complémentaires qui ont été effectuées depuis. Il s'enfonce sur 5 mètres puis le signal s'estompe, car la masse de pierre qui le recouvre devient trop importante et absorbe de plus en plus les muons. On ne sait pas où il va. Peut-être est-il relié à la grande cavité que nous venons de découvrir, nous ne le savons pas. Toutes ces structures sont situées dans un même plan. Cela ne semble pas fortuit, mais c'est tout ce que nous pouvons en dire pour le moment.
D'autres anomalies ont d'ores et déjà été observées, mais les chercheurs attendent encore confirmation avant d'annoncer la découverte d'autres cavités.
Pourra-t-on un jour creuser les pyramides pour aller voir ce que dissimulent ces mystérieuses salles ? Un jeune chercheur brillant en robotique de l'Inria, Jean-Baptiste Mouret, commence déjà à réfléchir aux solutions qui pourraient être déployées par une ouverture de 3cm de diamètre pour explorer ces volumes dans toute leur complexité. «Nous n'avons encore aucune autorisation, il est bien trop tôt pour y songer, mais un jour peut-être», envisage avec prudence Hany Helal, professeur à la Faculté des ingénieurs de l'université du Caire et co-directeur de la mission. «Pour l'instant, nous attendons que les archéologues et les égyptologues interprètent nos résultats. De notre côté, nous allons continuer nos analyses. Nous avons obtenu le droit de poursuivre nos travaux jusqu'à la fin de l'année 2018.»





Les mystères de la pyramide de Gizeh

    -  Comment la Grande Pyramide de Gizeh a-t-elle été construite ?
    -  A quoi servent les conduits présents dans la Pyramide de Khéops ?
    -  A quoi servaient vraiment la Pyramide de Gizeh ?

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