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Le projet d'autoroute FES-TETOUAN, qui piétine depuis 2008, est enfin relancé

Tant attendu, le projet de l’autoroute Fès-TangerMed est sur les rails. «La direction des études et stratégies du ministère du Transport l’a enfin prévu», affirme Omar El Fassi, deuxième vice-maire de Fès. «Il a fallu pas moins de 20 réunions avec une commission parlementaire pour convaincre les responsables du ministère de l’intérêt d’une liaison rapide entre la capitale spirituelle et la ville du détroit», avoue-t-il.

Une autoroute Fès-Tanger Med que construiraient des opérateurs privés ?

Pour rappel, ce projet fait partie des principales recommandations des opérateurs économiques fassis. En fait, une étude pour la réalisation d’une autoroute reliant Fès et Tétouan était sur le point d’être lancée, en 2008, à l’initiative des conseils communal et régional et le ministère de l’Equipement et des Transports représenté par la Direction des routes et de la circulation routière (DRCR). Ces partenaires devaient financer l’étude de faisabilité du tronçon autoroutier Fès-Tétouan pour quelque 470 millions de DH. Sur un linéaire de 252 km, la future double voie rapide permettra de diminuer la durée de voyage entre Fès et Tétouan de 4 heures 30 minutes (via Ouazzane) actuellement, à 2 h 20 min.


 Ainsi, le ministère de l’Equipement, alors dirigé par Karim Ghellab, allait contribuer à l’élaboration des études à hauteur de 376 millions de DH. Les conseils régional et municipal prévoyaient la prise en charge du reste à égalité (47 millions de DH chacun). Mais bizarrement, le projet a été étouffé. «Pourtant, cette autoroute constituera, pour nous, une ouverture sur l’océan, et une desserte avec le port de TangerMed», estiment les opérateurs. Pour eux, «ce projet favoriserait l’émergence d’une dynamique socio-économique en adéquation avec les objectifs de la régionalisation avancée». «Il est temps que la région Fès-Meknès passe à une vitesse supérieure en perspective de la régionalisation avancée et de la concurrence interrégionale qui va s’accentuer», soulignent les industriels. Et de poursuivre: «Les coûts des facteurs au niveau de Fès sont relativement plus élevés par rapport à des entreprises à Tanger ou à Casablanca près des ports».
Unanimes, les «derniers industriels de la ville» espèrent que le prochain gouvernement reprenne l’exécution des projets structurants (Azur, Offshoring, Emergence, Maroc Vert) mais pas sans modifier la méthode de mise en œuvre de certains plans exportateurs critiques pour notre chiffre d’affaires à l’export. Modifier la mise en œuvre signifie l’accélération de la réalisation de ses plans. Cette accélération ne peut venir que d’une implication directe de l’Etat. C’est ce qui a été fait pour le projet industriel de Renault à Tanger puisque le capital de la société a été partiellement souscrit par le secteur public marocain. «Il serait judicieux de déplacer l’effort d’investissement public de l’Etat de l’infrastructure pure vers la concrétisation des projets de construction des unités industrielles et des stations touristiques et déléguer un ministre à la tête des secteurs d’investissements», est-il proposé.