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Du protectorat à l'indépendance du Maroc.

Il y a soixante ans, le sultan Mohammed Ben Youssef, futur Mohammed V, faisait son retour triomphal à Rabat, après deux ans d’exil à Madagascar. La fin du protectorat français était proche, et le Maroc allait bientôt retrouver son indépendance. Retour sur un demi-siècle d’Histoire en images

Coup d'Agadir
1911 : L’Allemagne envoie sa canonnière SMS Panther dans la baie d’Agadir. Un coup de force destiné à contrer l’expansion de la France au Maroc. Celle-ci finit par obtenir le retrait allemand, après lui avoir concédé des territoires sur le continent africain.

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Le traité de Fès 1912 : Le traité de Fès, signé entre la France et le Maroc, instaure le protectorat. L’Espagne conserve une zone d’influence dans les régions du Rif et de Tarfaya. Les violentes émeutes qui éclatent dans les grandes villes du pays obligent le sultan Moulay Hafid à abdiquer, à la faveur de son frère, Moulay Youssef. Le général Lyautey est nommé résident général du Maroc, où il restera jusqu’en 1925.

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L'émir Abdelkrim en couverture du Time
1921 : L’émir et résistant Abdelkrim al-Khattabi lance une insurrection contre les Espagnols dans le Rif. Après sa victoire à Anoual, il proclame la République confédérée des tribus du Rif. L’homme devient l’icône des mouvements indépendantistes contre le colonialisme, par-delà les frontières marocaines.

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Guerre du Rif
1926 : Les troupes franco-espagnoles, menées par le maréchal Pétain, qui vient de remplacer le général Lyautey, répriment les insurgés qui finissent par se rendre au mois de mai. Abdelkrim est déporté sur l’île de la Réunion.

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Mohammed V (ici en 1943)
1927 : Après la mort du sultan Moulay Youssef en novembre, les Français placent son troisième fils, Mohammed Ben Youssef – le futur Mohammed V – à la tête du pays.

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Lucien Saint, résident général au Maroc
1930 : Le sultan et le nouveau résident général français, Lucien Saint, signent le "dahir berbère". À Fès et dans toutes les grandes villes du royaume, des manifestations nationalistes arabes éclatent.

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Le Comité d’action marocaine (CAM) est créé par des jeunes intellectuels
1934 : Le Comité d’action marocaine (CAM) est créé par des jeunes intellectuels, dont Allal El Fassi, Mohammed El Ouazzani et Ahmed Balafrej. Le CAM est interdit par les autorités françaises et dissous en 1937. El Fassi est déporté au Gabon.


La 4ème division marocaine de montagne dans les vosges
1939-1942 : Le sultan appelle les Marocains à soutenir la France qui entre en guerre contre l’Allemagne. Des contingents de soldats marocains sont envoyés à partir de 1942 pour combattre aux côtés de l’armée française. La même année, les Alliés débarquent en Afrique du Nord.

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Conférence d'Anfa
1943 : La conférence des Alliés, aussi connue sous le nom de conférence d’Anfa, a lieu à Casablanca. Le président américain Franklin Roosevelt, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le général de Gaulle se réunissent pour parler stratégie contre l’Allemagne. En marge de la conférence, Roosevelt accorde son soutien au sultan, qui revendique l’indépendance du Maroc.

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Manifeste de l'indépendance de l'Istiqlal
1944 : Un an après sa création, l’Istiqlal publie, le 11 janvier, son manifeste pour l’indépendance. Le parti, fondé sur les cendres du Comité d’action marocaine, souhaite remplacer le protectorat français par une monarchie constitutionnelle.


Discours de Tanger
1947 : Des émeutes violentes, réprimées dans le sang, frappent Casablanca le 7 avril. Trois jours plus tard, le sultan prononce un discours historique à Tanger, où il réclame l’émancipation du pays et la fin du joug colonial.


Discours de la princesse Lalla Aïcha
Le lendemain, sa fille, Lalla Aïcha, âgée de 17 ans, monte à son tour à la tribune de Tanger. Les cheveux à peine couverts, vêtue à l'occidentale, elle défend la scolarisation des femmes. Le discours, écrit par Mehdi Ben Barka, est en fait un message nationaliste clair lancé à la France.

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Mohammed V et le maréchal Juin
1951 : Les relations se tendent encore entre la France, représentée par le maréchal Juin, et Mohammed V, qui conclut un pacte avec les nationalistes. Le général Augustin Guillaume, qui avait commandé des bataillons de goumiers marocains pendant la guerre, est nommé résident général.

le général et le sultan

Exil à Madagascar
Août 1953 : Mohammed V est déposé par le général Guillaume, soutenu par l’historique opposant au sultan, Thami El Glaoui. Condamné à l’exil, Mohammed V quitte le Maroc pour la Corse puis Madagascar avec toute sa famille, où il restera jusqu’en 1955. Il est remplacé par son cousin, Mohammed Ben Arafa.

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En exil
Le sultan porte sur ses épaules sa fille Lalla Amina. Née à Madagascar, elle est "la seule joie de son exil", affirmera-t-il.

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Attentat du marché central à Casablanca
Décembre 1953 : La lutte pour l’indépendance passe à la phase supérieure: le résistant Mohamed Zerktouni commet un attentat contre les Français en plein marché central de Casablanca, à la veille de Noël. Une bombe, cachée dans un cabas, explose près d’une boucherie chevaline. Bilan: 19 morts et une quarantaine de blessés.

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Retour d'exil
1955 : Alors que les mouvements indépendantistes prennent de l’ampleur en Algérie et Tunisie, le Maroc bouillonne. Mohammed V est finalement rappelé par les Français, après les accords de la Celle-Saint-Cloud, qui prévoient l’indépendance du pays. Le sultan fait un retour triomphal le 10 novembre à Rabat, après l’abdication de Ben Arafa.

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El Glaoui à genoux devant le roi
Novembre 1955, Mohamed V accepte de recevoir Thami El Glaoui en audience, mais il l’humilie. « Pour la première fois de sa vie, le pacha de Marrakech doit faire antichambre pendant une heure entière. Après avoir ôté ses souliers, Thami pénétra seul dans le salon où Mohammed V était assis sur un canapé. Il se mit à genoux, avança dans cette position jusqu’aux pieds du sultan, puis se prosterna le visage contre terre. D’une voix à peine perceptible, il supplia le sultan d’accorder sa miséricorde à un pauvre homme qui s’était écarté du droit chemin. On aida Thami à se relever, et il sortit à reculons, en chancelant ». 





Signature du traité d'indépendance
1956 : Le 2 mars, le Maroc accède à l’indépendance après la signature, à Paris, d’une déclaration commune avec la France. Cette dernière met officiellement fin au protectorat. Un mois plus tard, la zone nord du pays, toujours contrôlée par les Espagnols, repasse sous le giron marocain. Seules Ifni et Tarfaya restent sous contrôle espagnol. Le premier Premier ministre marocain, Mbarek Bekkaï, signe la fin du protectorat avec Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères.

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Le roi Mohammed V et son fils, le futur Hassan II
1957 : Mohammed V prend le titre de roi. Son fils Moulay Hassan lui succèdera.

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