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Les 5 fugitifs politiques les plus recherchés du monde




Héros de la lutte politique pour les uns, dangereux criminels pour les autres : ces hommes d’État et personnalités ont été jugés coupables dans leur pays. Devenus parias ou militants, ils vivent sous la menace d’une extradition.

Carles Puigdemont, tel est pris qui croyait prendre


« Réfugié » en Belgique depuis fin octobre 2017, le leader catalan est menacé d’emprisonnement en Espagne pour l’organisation du référendum du 1er octobre sur l’indépendance, jugé « illégal » par Madrid. Lors des élections régionales en décembre, c’est pourtant sa liste qui arrive en tête. Carles Puigdemont aurait bien aimé se faire investir et gouverner à distance via Skype, mais la Cour constitutionnelle lui oppose un refus, expliquant qu’il doit être présent physiquement pour présider l’Assemblée.


Il semble aujourd’hui déconfit et fataliste quand à son avenir : « Tout cela est fini », a-t-il écrit dans des textos volés révélés fin janvier. « Je ne sais pas combien de temps il me reste à vivre », s’inquiète-il ouvertement. Un peu exagéré, car si trois autres organisateurs du référendum catalan sont effectivement bien sous les verrous, ils ne risquent nullement la peine de mort !

Fethullah Gülen, le bouc émissaire turc


Désigné par Erdogan comme l’instigateur de la tentative de coup d’État en Turquie en juillet 2016, le chef religieux vit exilé en Pennsylvanie aux États-Unis depuis 1999. Malgré les demandes insistantes de la Turquie, ces derniers ont toujours refusé son extradition. S’il ne risque donc pas grand-chose personnellement, ses partisans sont eux victimes d’une purge sans précédent : près de 150 000 fonctionnaires soupçonnés d’être proches du prédicateur ont été limogés, 44 000 jetés en prison.
Il fut pourtant un temps où Recep Tayyip Erdogan et Fethullah Gülen étaient bons amis, le premier profitant du puissant réseau du second pour asseoir son pouvoir. Mais le vent a tourné et Gülen a été accusé d’organiser un « État parallèle ». Le coup d’État manqué a donné à Erdogan une bonne occasion de se débarrasser définitivement de son influence dans les cercles du pouvoir.

Julian Assange, le prisonnier de l’ambassade



Devenu le symbole du lanceur d’alerte, le cofondateur de Wikileaks, de nationalité australienne, s’est fait connaître en 2010 lorsque le site a publié des milliers de documents secrets de l’armée américaine sur les guerres en Irak et en Afghanistan. Visé par une plainte pour viol et agression sexuelle en Suède, il se réfugie à l’ambassade d’Équateur à Londres en juin 2012 pour éviter son extradition, où il y vit reclus depuis.
Si la justice suédoise a finalement abandonné ses poursuites en mai 2017, Julian Assange risque toujours la prison au Royaume-Uni pour violation de la liberté sous caution. Naturalisé par l’Équateur en décembre, Julian Assange a vu sa requête de statut « d’agent diplomatique » lui être pourtant refusée. Sa situation demeure plus que jamais délicate : bête noire des États-Unis, il est à présent considéré comme « un problème » par le nouveau Président équatorien Lenin Moreni qui cherche à s’en débarrasser.

Mikheïl Saakachvili, l’opposant apatride


Leader de la « révolution rose » en 2003 en Géorgie, Mikheïl Saakachvili a dirigé le pays de 2004 à 2013. Accusé de corruption, il s’exile alors aux États-Unis pour éviter les poursuites pénales. À la demande du président ukrainien Petro Poroshenko, il prend la nationalité ukrainienne en 2015 pour devenir gouverneur de la région d’Odessa.
Mais il se mue rapidement en opposant politique, dénonçant les tentatives de l’État pour saper ses efforts de réformes contre la corruption. L’accusant à son tour de supporter des organisations criminelles, Poroshenko lui retire sa nationalité ukrainienne en 2017, le laissant apatride. En décembre dernier, après une rocambolesque fuite par les toits, Saakachvili échappe à son arrestation avant d’être finalement placé en résidence surveillée. Il jouit encore d’un soutien important au sein de la population.
Les Ben Ali, l’exil doré d’une famille déchue


Âgé de 83 ans, Zine el-Abidine Ben Ali a dirigé la Tunisie de 1989 à 2010 avant d’être renversé par la « révolution de jasmin » et de fuir avec sa famille en Arabie Saoudite le 14 janvier 2011. Sous le coup de 93 chefs d’inculpation, il a été condamné par contumace à plusieurs peines de réclusion à perpétuité.
Lui, sa femme et deux de ses enfants coulent des jours tranquilles à Djeddah. Sa fille aînée de ses secondes noces, Nesrine Ben Ali, et son mari Sakher El Materi, vivent eux en exil aux Seychelles et ont même obtenu la nationalité du pays. Le gendre de Ben Ali, condamné lui aussi à de lourdes peines de prison pour corruption, fraude et blanchiment d’argent, espère toujours retourner en Tunisie, jugeant que son procès n’a pas été « équitable ». En attendant, les anciens hommes forts du régime ont déjà retrouvé une bonne place au sein du gouvernement tunisien, avec 18 postes sur 43.

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